Notre

Mission:

Inspirer la prochaine génération d’Africains grâce à L’information et l’éducation des plus jeunes afin d’endiguer les mauvais traitements contre les animaux.

Notre histoire

Comment Panimale a-t-il debuté?

(Écrit par le fondateur, Novalis YAO)

Depuis que je suis enfant, les plantes et les animaux m’ont toujours attiré. Durant mon enfance, j’ai créé un petit jardin et élevé des cobayes, des pigeons, une tortue, une poule et de nombreuses autres créatures. Mon objectif ultime était de devenir vétérinaire pour en prendre bien soin.
Malheureusement, il n’y avait pas d’école vétérinaire en Côte d’Ivoire à cette époque. L’école vétérinaire la plus proche dans un pays francophone était à Dakar, au Sénégal. Cela continue d’être le cas même aujourd’hui.

Mon père avait un ami proche, un professeur d’anglais américain blanc appartenant au Corps de la Paix. Il me connaît depuis ma tendre enfance. Quand j’avais quatorze ans, il m’a confié qu’il serait heureux de prendre en charge mes études de vétérinaire aux États-Unis si j’avais mon diplôme de baccalauréat. J’étais très enthousiaste à l’idée de fréquenter une école de médecine vétérinaire aux États-Unis. J’ai donc obtenu mon baccalauréat en 1996.
Entre-temps, l’ami de mon père a rencontré des problèmes professionnels et personnels, qui l’ont obligé à rentrer aux États-Unis en 1993. J’ai fait de mon mieux pour rester en contact avec lui, mais il n’a plus été en mesure de tenir sa promesse.

De 1996 à 1998, j’ai étudié les sciences de la vie à l’Université d’Abobo Adjame, en Côte d’Ivoire, dans l’espoir de pouvoir passer un examen d’entrée à l’école de médecine vétérinaire de Dakar. Mais cela ne s’est pas produit non plus, car il y avait toujours des grèves d’étudiants et des troubles politiques qui entraînèrent un année blanche pour des raisons de sécurité.

Au cours de mes recherches personnelles au centre culturel Américain à Abidjan en 1998, j’ai appris que pour être accepté comme étudiant dans une école de médecine vétérinaire, il me fallait une expérience préalable avec des animaux sous la surveillance d’un vétérinaire expérimenté. J’ai donc décidé de faire un stage au zoo national d’Abidjan.

J’ai écrit une lettre au directeur, le docteur Jeannot Frederick Ahoussou, inspecteur vétérinaire et spécialiste de la faune. Bien qu’il n’ait pas répondu à ma lettre, j’ai réussi à avoir un rendez-vous avec son secrétariat et j’ai rencontré le Dr Ahoussou en personne.

Heureusement, après notre entrevue, il m’a accepté comme stagiaire. Ce fut l’un des jours les plus heureux de ma vie. J’ai beaucoup appris, plus que ce à quoi je m’attendais. Les sujets de mon stage étaient les suivants: classification, comportement, médecine de la faune, organisation et objet d’un parc zoologique.
Ce stage m’a permis de rencontrer des vétérinaires, des botanistes, des ornithologues et des biochimistes: toute la grande famille des scientifiques!

C’était une expérience incroyable; les employés du zoo m’aimaient bien et même le directeur était une personne très attentionnée.

Mais au cours de mon stage, qui a duré environ 8 mois, j’ai remarqué que les animaux n’étaient pas en très bonne forme et le directeur était de mon avis. Mais il a avoué qu’il ne pouvait pas faire grand-chose à propos de la situation, car il était un fonctionnaire doté d’un budget très limité.

J’ai donc pris contact avec l’antenne WWF – World Wild Fund en Côte d’Ivoire pour savoir si elle pouvait aider. Malheureusement, ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient rien faire parce que les animaux étaient captifs.

J’ai été très surpris et déçu par leur réponse. J’ai donc posé la question suivante: qu’ils soient captifs ou libres, ne sont-ils pas tous des animaux? J’étais très triste et j’ai raconté l’histoire à un ami. Mon ami m’a écouté puis m’a dit ceci: «à mon avis tu serais parfait pour défendre ces animaux». J’étais d’accord.

Le directeur aimait me présentait à ses visiteurs en ces termes: «Ce jeune homme est l’un de mes stagiaires et il est vraiment passionné par les animaux. »En mémoire du commentaire du Directeur et pour protester contre la position du WWF, j’ai décidé d’appeler l’organisation« Passion pour tous les animaux. »En fait, je ne voulais discriminer aucun animal.

C’est ainsi qu’est née «Monde Animal En Passion» alias Panimale.

Notre

Vision:

Oeuvrer à l’émergence d’une afrique où les animaux sont traités avec amour et humanité à l’image des pratiques  traditionnelles bénéfiques au bien-être des animaux!

Notre histoire

Pourquoi avons-nous développé VLMA?

(Écrit par le fondateur, Novalis YAO)

Du 12 au 13 août 2000, la nouvelle organisation «Monde Animal En Passion-MAEP» a lancé un sondage d’opinion au Zoo National d’Abidjan afin d’évaluer intéressement de ses visiteurs aux problèmes des animaux en Afrique. Le projet a été très bien accueilli par le public.
Sur la base du rapport de mon stage, nous avons lancé en décembre 2001 une pétition intitulée: SOS Animaux Captifs du ZOO national d’Abidjan.

En effet, les animaux souffraient beaucoup, ils étaient notamment sous-alimentés et vivaient dans des habitats mal entretenus.
Malheureusement, le nouveau directeur du zoo à cette époque se méfiait beaucoup du projet. Il faut savoir qu’il y avait eu un coup d’État en 1999 et que le pays n’était pas stable politiquement.

Pendant ce temps, l’ancien directeur, attentionné et compréhensif, était parti en France. Pour le dire succinctement, le nouveau directeur n’a pas été réceptif à la pétition et il s’est souvent montré hostile.

L’organisation était très jeune, sans soutiens et moyens financiers. En raison de la nature politiquement sensible de la pétition, l’organisation a commencé à attirer certains  médias de l’opposition. J’ai eu peur que l’organisation et ses motivations soient mal comprises, et j’ai décidé de poursuivre une autre voie.

Même si je dois tant de connaissances et d’expérience au Zoo National d’Abidjan, et même si c’est un point de départ important dans mon travail avec les animaux,  je savais que n’était pas en mesure de les aider avec la pétition.
C’était le Zoo du gouvernement Ivoirien. Ils étaient trop forts!

«VLMA» signifie «Valorisons Le Monde Animal» et son objectif principal est d’enseigner aux jeunes gens les notions de bien-être animal.

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